AREQUIPA : 2 335 m
Les 3 volcans qui dominent la ville : Misti 5825 m, Chachani, enneigé 6075 m, Pichu Pichu, le plus étendu 5571 m !
Cathédrale Notre-Dame d'Arequipa
Principal monument religieux de la ville, cette impressionnante cathédrale, édifiée en 1656, trois fois écroulée puis reconstruite et achevée en 1844, occupe tout le côté nord de la Plaza de Armas. Son impressionnante façade néoclassique en tuf volcanique se distingue par une enfilade de 70 colonnes ornées de chapiteaux corinthiens.
Ruta Del Sillar
Pourquoi Arequipa s'appelle-t-elle la ville blanche !
Sillar est la roche volcanique rose blanchâtre qui est commune dans la région d’Arequipa. Datant de l'époque coloniale, le rocher a été utilisé pour construire des casonas , des églises et des bâtiments publics - comme les églises et la place principale du centre d'Arequipa. Admirer tous les bâtiments historiques fait partie du charme de la visite d’Arequipa.
la Quebrada de Culebrillas, un chemin venteux d’un autre monde entre des rochers volcaniques sinueux causés par les éruptions, l’eau et le vent. Aucune extraction de sillar n'a eu lieu ici. En fait, il est si pur que l'on peut voir des pétroglyphes dont on pense qu'ils datent de la période Wari, gravés dans les murs du ravin du sillar.
monastère de Santa Catalina
Fondé par Doña María de Guzmán, il a été construit en 1579. Sa surface est de 20 462 m2. Il hébergeait 450 religieuses en clôture, qui n’avaient aucun contact avec le monde extérieur jusqu’en 1970.
Les futures religieuses devaient prouver leur origine espagnole et obtenir une dot d'au moins 1 000 pesos en or pour rejoindre la commande. Environ quatre douzaines de religieuses vivent encore dans le coin nord du complexe , qui abritait autrefois jusqu'à 500 femmes.
Chef-d'œuvre de l'architecture coloniale, le monastère de Santa Catalina fait la fierté d'Arequipa et constitue sans aucun doute le principal attrait de la ville .
On the road
La vigogne (Vicugna)
L' alpaga
Mirador de los Andes : 4890 m
CHIVAY : 3 640 m
Maison ronde pré-inca appelée colca. Les colcas sont des structures circulaires en pierre utilisées pour le stockage des aliments ou des enterrements.
Le volcan Sabancaya, avec une altitude de 5 967 m, c'est le septième plus haut volcan actif du monde.
Petit passage au Planetarium & Observatory Colca, des gens passionnés, allez leur rendre visite, ils sont charmants, ils m'ont laisser profiter du lieu, afin de réaliser cette photo du ciel.
Le canyon de Colca
D'une profondeur de 3 400 m, se situe au nord d'Arequipa au Pérou. Il était autrefois considéré comme le canyon le plus profond du monde. Toutefois, il a été démontré depuis qu'un canyon voisin, le Canyon de Cotahuasi, était encore plus profond (3 535 m).
Le Condor Andin :
C'est l’un des plus grands oiseaux volants au monde avec une envergure moyenne de 3 m. Les animaux sont très lourds, pesant jusqu’à 15 kg afin de les aider à rester dans les airs, ils aiment vivre dans des zones venteuses.
CHIVAY
On the road…
Le volcan El Misti : 5822 m
le lac Lagunillas : 4444 m
ON THE ROAD…
PUNO, Lac Titicaca : iles flottantes Uros - 3 812 m
Il est situé dans la cordillère des Andes, est traversé par la frontière entre la Bolivie et le Pérou. C'est le plus grand lac d'Amérique du Sud en volume d'eau et en longueur, mais pas en superficie. Il est aussi considéré comme le plus haut lac navigable du monde.
Les Uros (ou Urus) sont un peuple disparu peuplant anciennement des îles flottantes de la région de Puno, sur le lac Titicaca au Pérou. Ils se nommaient originellement les Kïotsuñi (abréviation des mots Qhas Qut Suñi signifiant « les gens du lac » en leur langue : l'uruquilla ou Lupihaques (signifiant « les fils du soleil »).
Les Uros se sont éteints complètement, dans les années 1950, abandonnant leur terre de roseaux aux autochtones aymaras de Puno. Ces derniers occupent les îles flottantes à des fins touristiques, en y perpétuant les traditions Uros.
Sacrifice ou repas du soir ?
presqu'île de Sillustani
Elle abrite des monuments parmi les plus mystérieux du Pérou. On se trouverait en présence d'un cimetière de la culture colla (1000 à 1400 de notre ère) qu'auraient utilisé les Incas. Les murs extérieurs des chullpas (les tombes) sont d'influence inca. Les édifices circulaires abritaient des momies que l'on introduisait par une porte dérobée située à leur base. Sur les plus importantes de ces tours, la Torre de la Lagartija (du lézard) et celle de la Serpiente (du serpent), sont gravées des figures de ces deux animaux sacrés.
Deux cercles consacrés à la lune et au soleil continuent, mille ans après avoir été tracés, d'attirer les farfelus illuminés ou les sorciers venus y prier, invoquer un dieu, ou lancer un mauvais sort. Aussi n'est-il pas rare d'y voir de l'affluence en fin d'après-midi et autour de minuit. Dominant le lac Umayo et une île plate dont seuls les chamans sont autorisés à fouler le sol, le site de Sillustani dégage des ondes d'énergie fabuleuses.
PERURAIL TITICACA PUNO - CUSCO, un de mes meilleurs souvenirs.
Ce train a été créé pour offrir aux passagers tout le luxe dont ils pourraient avoir besoin lors d’un voyage, tout en leur offrant la possibilité de forger un lien mystique avec la nature.
Profitez d'un service incomparable à bord de ce magnifique train, dînez dans des wagons Pullman de style années 1920 et absorbez des paysages à couper le souffle. La voiture d'observation en plein air est un rêve pour les photographes désireux de saisir les panoramas par excellence . Le trajet emprunté par le train PeruRail Titicaca est considéré par de nombreux magazines de voyage comme l’un des plus beaux au monde.
J'ai vraiment adoré, c'est a faire sans réfléchir !
Juliaca : 3 824 m
L'aventure unique dans la vie dure environ 10 heures 30 minutes. La traversé du marché à Juliaca est hors du commun.
col de la Raya : 4335 m
Je n'ai pas vu le voyage passer ! c'était incroyable !
CUSCO : 3400 m
Qosqo fut la capitale de l'empire Inca (Tawantinsuyu).
La légende veut que la ville ait été fondée au xie siècle ou au xiie siècle par Manco Capac et Mama Ocllo après leur « naissance » dans le lac Titicaca. Avant l'arrivée des conquistadors, la ville était partagée en quatre quartiers, occupés par les Incas et des ressortissants des tribus de leur empire. Les principaux monuments dataient de l'Inca Pachacutec (ou Pachacuti).
On peut encore admirer les murs incas originels dans certaines rues de la ville ou même le temple du Soleil, Qorikancha, de nouveau révélé au monde après le tremblement de terre de 1950. En effet sur les fondations de ce temple avait été bâti le couvent Santo Domingo, fortement endommagé par le séisme.
Après avoir détruit une bonne partie de la ville en 1534, les Espagnols y érigèrent une cathédrale au xvie siècle.
Marché San Pedro
Plaza de Armas de Cusco
Le couvent Santo Domingo
Le couvent Santo Domingo a été construit immédiatement après la conquête espagnole et a été détruit par les séismes de 1650 et 1950. Et c'est à l'occasion de ce dernier séisme que furent découverts les fragments des temples anciens dédiés aux divinités : soleil, étoiles, lune, arc-en-ciel..... à la grande joie des Indiens !
Sacsayhuamán
C'est une forteresse inca ou un centre religieux dédié au soleil et à d'autres dieux incas, située à deux kilomètres de la ville de Cuzco, au Pérou. Construite vers le XIIIᵉ siècle, très probablement dans un but défensif ou religieux, la forteresse se trouve à 3 700 m d'altitude.
Le christ Blanc
Le Cristo Blanco est une statue colossale située sur la colline de Pukamoko, à environ 3600 mètres d'altitude, elle date de 1945. La statue a été fondée par Olazo Ernesto Olivera Cusco
Pukapuraka
C'est un site archéologique près de Cuzco au Pérou. Il s'agit des ruines d'une construction militaire ayant fait partie du système de défense de Cuzco sous l'Empire inca. Les ruines de cette pukara (en français : « forteresse ») se composent de grands murs, de terrasses, d'escaliers et de rues bordées de trottoirs.
Le site archéologique INCA de Písac
C'est l'un des plus importants de la Vallée sacrée des Incas. Le versant de la colline est strié de terrasses agricoles construites par les Incas et toujours utilisées, montrant comment les incas ont réussi à mettre en culture les pentes abruptes des montagnes.
Avec ses constructions militaires, religieuses et agricoles, le site avait une triple fonction. On pense que Písac défendait l'entrée sud de la Vallée Sacrée, tandis que Choquequirao défendait l'ouest et la forteresse d'Ollantaytambo, le nord.
On pense que les terrasses étroites qui se trouvent en dessous de la citadelle représentent l'aile d'une perdrix (p'isaqa), qui a donné son nom au lieu.
On peut voir également à Písac des falaises percées d'excavations. Ces dernières étaient des tombes de villageois incas qui ont été pillées avant l'arrivée des archéologues.
La forteresse d’Ollantaytambo
Ollantaytambo signifie l’auberge d’Ollantay, qui est le nom d’un guerrier. Ollantaytambo se situe à une altitude voisine des 2800 mètres. La forteresse d’Ollantaytambo surveillait le chemin du Machu Picchu. Ce fût un haut point de bataille lors de la conquête espagnole, d’où d’imposantes fortifications. Manco Capac, le chef inca de l’époque, se réfugia à Ollantaytambo après sa défaite à Sacsahuamán (Cusco). Lorsque les espagnols arrivent (100 espagnols et 30 000 alliés autochtones), les incas (30 000 environ) inondent la vallée (pour se débarasser des chevaux) et lancent une pluie de flèches (pour se débarasser des hommes). Les espagnols sont mis en déroute, mais reviendront beaucoup plus nombreux peu après, imposant à Manco Capac de s’enfuir vers Vilcabamba.
Le Machu Picchu : 2438 m
Dans un site montagneux d'une extraordinaire beauté, au milieu d'une forêt tropicale, Machu Picchu a probablement été la création urbaine la plus stupéfiante de l'Empire inca à son apogée : murailles, terrasses et rampes gigantesques sculptent les escarpements rocheux dont elles paraissent le prolongement. Le cadre naturel, sur le versant oriental des Andes, fait partie du bassin supérieur de l'Amazone, riche d'une flore et d'une faune très variées.
Les quelque 200 constructions qui constituent ce centre religieux, cérémoniel, astronomique et agricole exceptionnel sont édifiées sur une crête escarpée, sillonnée de terrasses en pierre. Un plan rigoureux divise la cité en deux parties, la haute et la basse ville, séparant par une large place les zones agricoles des zones résidentielles. À ce jour, nombre de mystères de Machu Picchu ne sont toujours pas résolus, comme son rôle exact dans la connaissance approfondie qu’avaient les Incas de l’astronomie et de l’acclimatation d’espèces végétales sauvages.
Tout est fait selon la méthode ancestrale, depuis la fabrication de la laine jusqu’à la teinture de la laine avec les ingrédients naturels. C’est grâce aux cochenilles, des petits insectes, récoltés sur les cactus que les tisseuses obtiennent 24 tonalités différentes de rouges, sachez qu’il faut 70,000 insectes pour produire 1 demi-kilo de poudre… Pour obtenir une tonalité comme du orange ou du violet clair, elles peuvent ajouter du citron, une pierre appelée Lumbre ou bien du sel de Maras, un village non loin de Chinchero.Le vert est obtenu avec les feuilles de chilca. Si elle veut éclaircir le vert, elle utilise la poudre ci-dessous, qui est une terre venant d’une mine de Colpa. Le jaune s’obtient grâce au feuilles de colle. Le violet grâce au maïs morado. Les teintes de couleurs briques grâce aux barbas de la roca.
Enfin, la couleur marron avec les feuilles de Nogal. Comment obtenir du bleu? La couleur bleue est très difficile à réaliser. La préparation est longue si elle utilise la piedra(pierre) indigo moulu en poudre et l’attente pour que la couleur se fixe est de un mois ! Elle utilise également la Flor (fleur) de Ancash, plus facile à teindre mais plus rare car elle se trouve qu’à une certaine période de l’année. Le noir n’est pas teint, c’est une couleur naturelle. Pour fixer la couleur, elles utilisent un minéral trouvé dans la jungle, appelé collpa.
Enfin, la couleur marron avec les feuilles de Nogal. Comment obtenir du bleu? La couleur bleue est très difficile à réaliser. La préparation est longue si elle utilise la piedra(pierre) indigo moulu en poudre et l’attente pour que la couleur se fixe est de un mois ! Elle utilise également la Flor (fleur) de Ancash, plus facile à teindre mais plus rare car elle se trouve qu’à une certaine période de l’année. Le noir n’est pas teint, c’est une couleur naturelle. Pour fixer la couleur, elles utilisent un minéral trouvé dans la jungle, appelé collpa.
Moray : 3500 m
C'est un ancien centre de recherche agricole INCA situé dans la Vallée sacrée des Andes.
La position des terrasses crée toute une série de microclimats : la température est plus élevée au centre mais diminue ensuite en fonction de la distance de chaque terrasse. Cela permet de simuler une vingtaine de microclimats différents. On pense que Moray a notamment servi à prévoir les rendements agricoles, non seulement dans la Vallée sacrée mais aussi dans d'autres partie de l'Empire inca. Il semble aussi qu'à Moray les Incas tentaient d'acclimater aux conditions locales des plantes exotiques.
les salines de Maras : 3300 m
elle s'étend sur un plateau qui domine la Vallée sacrée des Incas. A plus de 3 200 m, une source jaillit donnant naissance à un ruisseau saturé de chlorure de sodium. Un atout précieux dans cette région très éloignée de la mer. Aujourd'hui, les 700 à 800 familles qui possèdent les quelque 3 600 bassins sont organisées en coopérative. La production annuelle totale oscille entre 160 et 200 tonnes.
Le Pérou est l’un des pays les plus pauvres du continent. On estime que plus de la moitié de la population vit dans la pauvreté, et environ 20 % des enfants souffrent de mal nutrition…
Cerro Colorado, Montaña Siete Colores : 5200 m
Elle est située dans la région de Cuzco, au cœur de la cordillère des Andes.
Ce qui permet le fait qu'autant de couleurs se côtoient à cet endroit précis, c'est l'accumulation formée par des couches de sédiments depuis des siècles et des siècles. Le souffre qui offre la couleur jaune, l'oxyde de fer permet d'obtenir la couleur rouge, le sulfate de cuivre pour la couleur verte.
Lac Humantay : 4200 m
Si vous avez une bonne vue serez vous reconnaitre cet oiseau ? Colibri peut être ?
Les îles Ballestas
En naviguant vers les îles Ballestas, sur le chemin, vous pourrez voir le chandelier de Paracas , qui est un grand géoglyphe qui sert de balise pour les marins. Ce géoglyphe est lié aux lignes et géoglyphes de Nasca et de Pampas de Jumana.
Les îles Ballestas sont un archipel de différentes îles situées à environ 30 minutes de la côte de Paracas. En-dehors du bleu du Pacifique, les îles Ballestas permettent également d’observer des formations rôcheuses incomparables et abritent une grande variété de faune.
Une multitude de fous de bassan peuplent les îles, ils mesurent entre 60cm et 1m.
Leur parcularité est leur plongeon d'une hauteur de plus de 40m dans l'eau pour pêcher.
Les Dunes De Huacachina
Huacachina, un minuscule petit village oasis enfoui au beau milieu d’un immense désert de dunes de sable blanc. La légende veut que l'oasis naquit lorsqu'une belle princesse indigène s'y réfugia pour échapper à un chasseur. La végétation se serait alors développée dès lors qu'elle serait entrée en contact avec l'eau, l'origine des dunes s'expliquant quant à elle par les marques de plis laissées par le manteau de la princesse. Des rumeurs continuent encore aujourd'hui à maintenir l'histoire selon laquelle la jeune femme serait devenue une sirène continuant à nager dans les eaux du lac.
à la recherche des lions de mer et des baleines à bosses.
Tumbes - Piura
phasmes-bâtons
